CLINDOEIL-CINEMA – CHRONIQUES DE TEHERAN

L’ A.C.P.G. (Association des Cinémas de Proximité de la Gironde) présente dans le cadre de CLINDOEIL-CINEMA-105
SAINTE-FOY-LA-GRANDE – CINEMA LA BRECHE -SAMEDI 4 MAI – 18H
CREON – CINEMA LE MAX LINDER – LUNDI 6 MAI – 20H30
CESTAS – CINEMA LE REX – VENDREDI 10 MAI – 20H30
BLANQUEFORT – CINEMA LES COLONNES – SAMEDI 11 MAI – 18H
BLAYE – CINEMA LE ZOETROPE – SAMEDI 11 MAI – 20H30
BAZAS – CINEMA LE VOG – MARDI 14 MAI – 20H30

CHRONIQUES DE TEHERAN – fiction très documentée d’Ali Asgari et Alireza Khatami – ARP – 1H17 – avec Bahman Ark, Arghavan Shabani, Servin Zabetiyan…
Un homme déclare la naissance de son fils. Une mère habille sa fille pour la rentrée. Une élève est convoquée par la directrice. Une jeune femme conteste une contravention. Une jeune fille se présente à un entretien d’embauche. Un jeune homme vient retirer son permis de conduire. Un homme au chômage répond à une annonce. Un réalisateur demande une autorisation de tournage. Une femme cherche à retrouver son chien. Neuf visages de la vie quotidienne à Téhéran…

PRESENTATION
– Introduction au cinéma iranien, présentation du film et du mouvement de révolte « Femme ! Vie ! Liberté »….
Bande-annonce Chroniques de Téhéran
PRESENTATION – Introduction au cinéma iranien, présentation du film et du mouvement de révolte « Femme ! Vie ! Liberté »….

21 critiques presse

Ouest France – L’humour est ici une arme de dénonciation massive et terrassante.
Bande à part – Une telle adéquation entre le fond, la forme, et la condition sine qua non pour exister chavire. Et fait naître en nous une saine colère.
Cahiers du Cinéma – Le constat sociétal et politique est d’autant plus implacable qu’une force très référencée se dégage de l’ensemble, hommage explicite à l’insolence des mosaïques panahiennes.
Dernières Nouvelles d’Alsace – Ce film inventif et stimulant, soutenu par une écriture brillante, fine et incisive, met en relief le conflit entre la recherche de sens de la société iranienne et le manque de sens de son gouvernement.
L’Humanité – Une œuvre radicale.
La Croix – Un film aussi percutant qu’indispensable.
Le Dauphiné Libéré – Ali Asgari et Alireza Khatami décrivent le cauchemar tragicomique sous un régime autoritaire.
Le Figaro – Une vision éclairante de la société iranienne à travers neuf saynètes qui pointent le totalitarisme ambiant.
Le Journal du Dimanche – On est frappé par la lucidité implacable de ce film choral, drôle mais désespérant, qui tient sa force de son dispositif unique […].
Le Parisien – Ces neuf saynètes nous plongent dans le quotidien de la vie à Téhéran. Et la mise en scène illustre puissamment le dialogue impossible entre des individus et le rouleau compresseur d’une administration et de règles religieuses intransigeantes.
Les Echos – Ali Asgari et Alireza Khatami mettent en scène neuf histoires ordinaires dans le Téhéran d’aujourd’hui. A travers un dispositif simple et surprenant, ils livrent, parfois avec drôlerie, le terrible instantané d’une dictature.
Les Fiches du Cinéma – Une mécanique implacable, finement écrite et admirablement interprétée.
Positif – Ces Chroniques de Téhéran savent nous captiver par leur terrifiante simplicité.
Première – Le duo de cinéastes nous place du côté d’un mal que l’on ne voit pas. Le geste est implacable.
Télérama – Neuf histoires qui n’en font qu’une : un subterfuge qui permit à Alireza Khatami de déjouer la censure. Et autant d’instantanés, à la fois drôles et tragiques, qui défendent la liberté.
aVoir-aLire.com – Avec tact et doigté, le film aborde le sujet, ô combien sensible, de la relation des Iraniens aux autorités et à l’ordre établi.
L’Obs – A chaque fois, l’incriminé(e) nous prend à témoin avec un regard face caméra, pendant que, tenus hors champ, les représentants d’un Etat liberticide cisèlent leurs coups bas.
Le Monde – L’effet de frustration fonctionne, et la mise en scène accentue le suspense.
Le Point – Originalité de la démarche : tous les personnages sont filmés en plan séquence face à l’autorité administrative ou de la personne invisible, en plan fixe. Effet garanti et implacable, forcément répétitif. Ce « hors-champs » accentue l’impression d’une mécanique froide,incapable d’empathie et qui enferme la société sur elle-même.
Les Inrockuptibles – Tourné en à peine sept jours, le film souligne un certain état d’urgence à dépeindre l’enfer quotidien des Iranien·nes, à filmer pour se souvenir, mais aussi pour combattre.
Libération – Concis, inspiré et extrêmement mordant…

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.